Interpelé [1] sur le gouffre financier [2] pour les Berruyers de l’opération Avaricum, S. Lepeltier a déclaré « assumer parfaitement la vente à perte du terrain ». Il s’agit pour lui d’un « investissement de la ville de Bourges pour offrir des services au public berruyer ». Les commerces privés sont donc des services publics pour S. Lepeltier. Et il ne faut pas qu’on se plaigne, parce que juste « pour faire le parking de 350 places, ça aurait couté 10 millions d’euros à la ville » si elle avait dû le faire elle-même. Plus c’est gros, mieux ça passe.
[1] Lors de la réunion de quartier du Val d’Auron du 10 décembre 2010
[2] Plus de 2 millions d’euros. Voir Hold-up du siècle à Bourges