Pas content, Michel Pobeau, de notre article sur les sombres manipulations dont il s’est fait l’instrument lors du dernier festival du film écologique, pour ne pas accorder de prix à un film « dérangeant » [1].
Selon ce petit chef irascible et tyrannique, l’Agitateur ne serait qu’un « torchon ».
Le problème, c’est que ce sont les élèves qui ont parlé et témoigné [2].
Le problème, c’est que Serge Lepeltier a reconnu les faits.
Le problème, c’est que Monsieur Pobeau, directement mis en cause, n’a pas usé de son droit de réponse pour s’expliquer. Au besoin, nous aurions pu organiser une confrontation avec les élèves.
Le problème, c’est qu’au lieu de reconnaître ses torts, ou, à tout le moins, faire silence sur cet épisode pénible qui n’est ni à sa gloire, ni à celle de Serge Lepeltier, il se permette d’engueuler vertement et proprement des profs de l’éducation nationale sur lesquels il n’a, normalement, aucune autorité, ni administrative, ni pédagogique.
Le problème, c’est que, selon nos informations, les dits profs se sont laissés engueuler. Sans pratiquement oser répondre. Comme des gamins qu’on réprimande. Ils participeront d’ailleurs l’année prochaine à ce festival bidonné... Sans barguigner.
L’ordre règne donc, et la politique de la terreur semble fonctionner à Bourges. Tout le monde est au garde à vous et tremble devant Monsieur Pobeau. Le monsieur aux serviettes. Celle qu’il porte, ou celle qu’il utilise pour faire briller les pompes de notre bon roi, ou de quelque puissance dont il espère s’attirer les faveurs.
Heureusement qu’il reste quelques torchons qui n’aiment pas cette propreté-là.
Le « torchon » vous salue bien, Monsieur Pobeau.
[1] cf. notre article, Festival du film écologique : le jury lycéen manipulé
[2] cf. pour confirmation le message #9385 publié dans le forum faisant suite à l’article